William Blake : point final

L’Amérique (trad. Pierre Leyris)

Annotations à l’Oraison dominicale du Dr Thornton* (Leyris)

Annotations à Siris de Berkeley* (trad. Pierre Leyris)

Un chant de liberté (trad. Pierre Leyris)

Le chant de Los (trad. Pierre Leyris)

Chants d’Innocence et d’Expérience (trad. Pierre Leyris)

Chants de l’Innocence et de l’Expérience (trad. Alain Suied)

Deux traités sur la religion (trad. Pierre Leyris)

Epigrammes, vers et fragments 1808-1811 (trad. Pierre Leyris)

Esquisses poétiques (trad. Pierre Leyris)

L’Europe (trad. Pierre Leyris)

Evangile à jamais (trad. Pierre Leyris)

L’Evangile éternel (trad. Alain Suied)

Le fantôme d’Abel (trad. Pierre Leyris)

Une Ile de la Lune (trad. Pierre Leyris)

Jérusalem (trad. Pierre Leyris)

Le Laocoön (trad. Pierre Leyris)

Lettres* (trad. Pierre Leyris)

Le livre d’Ahania (trad. Pierre Leyris)

Le livre d’Urizen (trad. Pierre Leyris)

Le livre de Los (trad. Pierre Leyris)

Le livre de Thel (trad. Alain Suied)

Le livre de Thel (trad. Pierre Leyris)

Le mariage du Ciel et de l’Enfer (trad. Alain Suied)

Le mariage du Ciel et de l’Enfer (trad. André Gide)

Le mariage du Ciel et de l’Enfer (trad. Pierre Leyris)

Milton (trad. Pierre Leyris)

Poèmes du manuscrit Pickering

Poèmes et fragments du note-book 1792-93 (trad. Pierre Leyris)

Poèmes et fragments du note-book 1800-03 (trad. Pierre Leyris)

Poèmes tirés des lettres et d’un livre offert (trad. Pierre Leyris)

Pour les deux sexes : Les portes du Paradis (trad. Pierre Leyris)

La Révolution française (traduction Pierre Leyris)

Songs of Innocence and Experience

Tiriel (trad. Pierre Leyris)

Vala ou les quatre vivants (trad. Jacques Blondel)

Une Vision du Jugement Dernier (trad. Pierre Leyris)

Visions des filles d’Albion (trad. Pierre Leyris)

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Trente huit textes allant de la simple double page jusqu’au pavé obscur de 300 et quelques feuilles. Six volumes pour contenir l’intégralité (pour ce qui est de la traduction de Leyris/Blondel), quatre traducteurs pour jusqu’à trois versions différentes d’un seul et même texte.

Sans compter les mentions faites par Sting (Borken Music), Camus (L’homme révolté), Amigorena (Le premier amour) deux analyses de textes/gravures, et j’en passe.

Voilà pour Blake. Si je ne l’ai pas intégralement lu dans la version originale (loin de là, heureusement !), la version française de celui-ci n’a plus de mystères. Je ne pourrai plus jamais découvrir William Blake, uniquement le redécouvrir. Le constat est amer.

Je pensais finir de lire Albert Camus avant de refermer Blake, le hasard en a voulu autrement. Encore tant de pages à parcourir pourtant, ailleurs…

Je rappelle au passage qu’il y a une exposition consacrée à William Blake au Petit Palais jusqu’en juin de cette année. Avis à ceux qui me connaissent, je me propose pour servir de guide (mais si ça continue je demandrai à être rétribué eheh ! déjà deux visiteuses qui ont bénéficié de mes quelques connaissances, mais je ne vais pas payer à chaque visite non plus si ça continue comme ça !).

~ par Laurent T sur 9 Mai, 2009.

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